Adama Keita : « Toujours des rencontres physiques »

Réactions

Après une belle bataille, le Paris Saint-Germain Handball s’est imposé devant Dunkerque (44-36), lors de la 16ème journée de Liqui Moly StarLigue. Découvrez les réactions de Raul Gonzalez, Adama Keita et Gautier Loredon.

Raul Gonzalez (entraîneur du Paris Saint-Germain Handball) :

« Toutes les équipes ont de bons joueurs, donc c’est toujours compliqué de s’imposer. On vient de faire un voyage en Croatie pour l’EHF Champions League, il fallait donc enchaîner. Mais tout le monde a fait du beau travail et on a pu faire la différence. On peut être satisfaits. On a gagné tous nos matches depuis la reprise, on ne peut donc pas faire mieux. Mais nous sommes un peu inquiets du nombre de blessures que nous avons. C’est difficile de préparer les matches dans ces conditions… On n’a pas beaucoup de temps. Retrouver Coubertin fait plaisir. On a joué plusieurs matches à l’extérieur. Aujourd’hui, l’ambiance était géniale et nous a aidé à bien jouer. »

Adama Keita (ailier gauche du Paris Saint-Germain Handball) :

« On sait que contre Dunkerque, ce sont toujours des rencontres physiques. On a répondu dans l’engagement et au niveau du jeu. On prend deux points de plus en championnat, donc nous sommes contents de la performance. On débute très bien l’année. On espère que les blessés vont revenir et qu’on va pouvoir enchaîner. Surtout que des échéances importantes arrivent. On va avoir besoin de tout le monde. Ça fait longtemps qu’on avait pas joué à Coubertin, donc ça fait plaisir de retrouver ce terrain et nos supporters qui crient à l’unisson. »

Gautier Loredon (pivot du Paris Saint-Germain Handball) :

« Ça a un été un vrai combat, du début à la fin. Cette rencontre n’a pas été évidente, trois jours après Zagreb, où nous avions déjà tout donné. Ça nous a permis de l’emporter. On ne peut pas demander mieux que ces trois victoires pour débuter 2023. Maintenant, il faut se reposer pour être encore plus fort, jeudi, face au Dinamo Bucarest. Je suis heureux de retrouver Coubertin, d’autant que c’était plein. Le public a parfaitement joué son rôle de huitième homme. »

(Crédits : J.Azouze/PSG)