Sadou Ntanzi : « Chambéry ne va rien lâcher »

Dimanche après-midi, le Paris Saint-Germain Handball reçoit Chambéry, à l’occasion de la 8ème journée de la Liqui Moly StarLigue. L’occasion pour Sadou Ntanzi de s’exprimer sur le championnat, mais aussi sur sa situation personnelle.

Qu’as-tu pensé de votre prestation face à Dunkerque (32-38) ?

« Ça a été un beau match. On sait que cette année, ils ont une belle équipe, qui est compétitive. Il fallait être bon pendant 60 minutes pour les battre. Nous avons dû être efficaces en attaque et solides en défense. C’est une belle victoire d’équipe ! »

Ça vous permet d’être co-leaders !

« On sait que c’est un championnat compliqué et qu’il y a des pièges partout, que ce soit pour nous, mais aussi pour Nantes et Montpellier. Le fait de revenir à hauteur nous permet de ne pas douter. Les doubles confrontations face à ces équipes seront primordiales, mais on doit d’abord se consacrer aux matches qui arrivent avant. »

Parmi ces matches, il y a Chambéry, dimanche. C’est toujours une équipe difficile à manoeuvrer ?

« Chambéry a très souvent de bons résultats. C’est une belle équipe, avec des internationaux et de bons gardiens. On sait que là-bas, c’est difficile de gagner. Mais ici, nous aurons nos supporters. Il faudra compter sur eux, car Chambéry ne va rien lâcher. 

On a l’impression que le nouveau groupe a mis quelques matches à s’adapter à ce championnat, mais que maintenant c’est parti ?

« Le groupe a changé et il y a forcément besoin d’adaptation. C’est normal… On aurait aimé éviter la défaite à Toulouse, mais malheureusement, on a perdu. Ce qui est bien, c’est qu’on a su repartir de l’avant. On progresse de match en match et aujourd’hui, on est satisfaits du contenu. Quand tu joues à Paris, tu veux tout gagner. On veut absolument être champions. J’étais heureux du dernier sacre, car j’ai eu le sentiment d’y contribuer. »

Tu débutes ta troisième saison professionnelle. Comment te sens-tu ?

« Plutôt bien. Je sens que je progresse. Je comprends plus de choses qu’avant. Grâce à mes coéquipiers, comme Luc (Steins) et Niko (Karabatic), j’apprends tous les jours. »

Retrouvez la première partie de notre interview avec Sadou Ntanzi, en vidéo.

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