Pablo Sarabia : « Donner le maximum pour ce maillot »
A J-1 de découvrir le Parc des Princes pour ses grands débuts en L1 face à Nîmes, le milieu offensif espagnol a répondu aux questions des journalistes, depuis l’auditorium du Centre Ooredoo. Morceaux choisis.
SES OBJECTIFS SOUS LE MAILLOT PARISIEN
D’abord, ce qui m’anime c’est de remercier le Paris Saint-Germain pour la confiance accordée. Je veux donner le maximum, c’est mon objectif prioritaire, avant de penser à être titulaire. Je veux faire de mon mieux pour le coach, pour l’équipe.
SON ADAPTATION
Mes premiers pas se sont bien déroulés, j’ai été très bien accueilli par mes nouveaux coéquipiers. Une bonne ambiance règne dans le groupe, donc je n’ai pas d’appréhension particulière. Je vais essayer de me fondre dans ce collectif, pour m’intégrer le plus rapidement possible. Je suis toujours en phase d’adaptation et je vais notamment me concentrer sur l’apprentissage du français, puisque parler la langue fait aussi partie de ce processus.
SON POSTE DE PRÉDILECTION
Je veux aider l'équipe en amenant des buts et des passes décisives. Ma position préférentielle est sur un côté, à droite ou à gauche.
PARIS, UN AUTRE UNIVERS
Avant de venir ici, je savais que le Paris Saint-Germain était l’un des 5 meilleurs clubs au monde, l’opportunité d’évoluer ici était donc immanquable pour moi. Je n’ai donc pas hésité avant de me lancer dans ce challenge. Le Parc des Princes est une enceinte superbe, les supporters sont passionnés en tribunes, j’ai donc hâte de découvrir cette atmosphère et d’effectuer mes premières minutes ici, avec ce maillot. C’est clair que le Paris Saint-Germain est un club très exposé médiatiquement, je sais qu’ici l’attente est forte, mais je suis serein.
SA RELATION AVEC THOMAS TUCHEL
Ma relation avec mon entraîneur est très bonne. Je m'adapte bien, je suis les concepts du coach, ses idées, et j’essaie de les retranscrire sur le terrain. Concernant les coups de pied arrêtés, je vais donner le maximum pour encore m’améliorer et en faire profiter l’équipe.
SES COMPATRIOTES ESPAGNOLS
Les premiers contacts avec le Paris Saint-Germain remontent au début de l’été, au mois de juin. Je savais qu’il y avait dans l’effectif beaucoup de joueurs hispanophones, mais j’ai signé ici pour le club, plus que pour rejoindre Juan Bernat et d’autres joueurs espagnols. J’avais pris la décision en amont, car évoluer ici était une occasion unique.