Le coach du Paris Saint-Germain était accompagné du capitaine Marquinhos pour revenir au micro de PSGTV sur la victoire face à l'OGC Nice, lors de la 30e journée de Ligue 1 (0-2).
Christophe Galtier
« Evidemment que c'était important pour la course au titre, mais aussi par rapport aux deux contre-performances que nous avons eues. On venait affronter Nice, qui était une équipe qui n'avait pas perdu depuis le mois de septembre ici, et qui restait sur une grande dynamique. Voilà, les joueurs ont été en réaction, dans la détermination, la solidarité, la combativité. On n'a sûrement pas fait le plus grand match de la saison, mais je rappelle encore une fois qu'à ce moment-là de la saison, les points sont importants. On a su marquer à des moments importants. Gigio a su être très efficace aussi.
Il aurait fallu qu'on utilise mieux le ballon quand on le gagnait. Malheureusement, on n'y est pas arrivé. Évidemment qu'il y avait une grosse pression de la part de Nice, mais peut être qu'on n'a pas bien utilisé les espaces et les intervalles qu'il était possible de trouver à l'intérieur du jeu. »
MARQUINHOS
« C'était le moment de donner la meilleure des réponses, et je crois que nous avons eu beaucoup de discussions, nous avons beaucoup parlé dans la semaine. On a eu une bonne semaine de travail, une bonne semaine de discussion, c'est pour le bien de tout le monde. On savait que nous n'étions pas à notre meilleur niveau et il fallait aujourd'hui revenir dans la meilleure des solidarité. Et je crois que c'était ça le point et l'objectif de ce match aujourd'hui. Et revenir dans la solidarité, la cohésion, le bloc équipe qu'on avait en début de saison, qui nous donnait de meilleurs résultats et aujourd'hui on voit quand on est solidaire, quand on joue les uns pour les autres, quand on ne perd pas cette énergie d'équipe, je pense que le résultat vient tout seul avec la qualité qu'on a.
400 matches avec Paris ? C'est énorme, même moi je n'y pensais pas quand je suis arrivé ici, je voulais juste jouer au ballon, prendre du plaisir. C'était un grand club, et de jouer avec des idoles c'était ça mon ambition. Aujourd'hui, je regarde derrière, 400 matches, il y a beaucoup de choses qui se sont passées, de bons moments, de mauvais moments, mais ils se sont toujours passés avec la passion, avec l'amour pour ce sport que nous faisons. Et avec le respect pour ce maillot, je pense qu'à la fin, c'est ça que les supporters, moi et ma famille, allons garder quand je vais arrêter le foot. Tous ces matches que j'ai joué avec le Paris Saint-Germain je vais le garder dans mon coeur. »