Dainis Kristopans : « tout reste possible »

Alors qu’il devait retrouver son ancienne formation, ce mercredi, Dainis Kristopans ne pourra pas affronter le Vardar Skopje, en raison du report de la rencontre comptant pour la 6ème journée de l’EHF Champions League. L’arrière droit letton revient sur la dernière rencontre et se projette sur les prochaines échéances.

Psg.fr : Comment expliques-tu votre défaite face à Kielce (35-33) ?
Dainis Kristopans : Nous savions que Kielce était une équipe solide et qu’il serait difficile de nous imposer face à elle, surtout à l’extérieur. Nous avons alterné les bons et les mauvais moments. Nous avions le contrôle de la partie, mais ensuite, nous avons eu des problèmes défensifs.

Les blessures vous ont-elles coûtées cher ?
Nous avions aussi quelques absents, notamment sur le poste de demi-centre. Le rythme était rapide et nous n’avions pas beaucoup de possibilités de changements. Nous avons également commis quelques erreurs…

Penses-tu qu’il est déjà trop tard pour les deux premières places du groupe ?
Je ne pense pas ! Nous devons poursuivre nos efforts. La situation du groupe peut rapidement changer. Depuis le début, toutes les équipes peuvent battre tout le monde. Les outsiders ont déjà fait tomber les favoris. Tout reste possible !

Mercredi, vous deviez affronter le Vardar Skopje. N’es-tu pas trop triste de ne pas retrouver ton ancien club ?
Si ! Nous avions déjà commencé à nous préparer pour cette rencontre et nous y avions passé beaucoup de temps. Nous étions prêts ! Le problème, c’est qu’il y a beaucoup de matchs reportés et que nous n’avons pas beaucoup de possibilités pour les replacer. Nous allons avoir beaucoup de rencontres à disputer en peu de temps.

Comment te sens-tu dans cette équipe depuis ton arrivée ?
Je me sens bien ! Nous avons passé beaucoup de temps ensemble sur le terrain. Nous avons fait de bons progrès, mais nous pouvons encore faire mieux. Nous allons encore progresser et être meilleurs. Je suis aussi heureux d’être à Paris, même si c’est un peu compliqué parfois avec la crise sanitaire. Il est difficile de sortir et prendre des risques qui pourraient mettre la santé de l’équipe en danger.

Comment se passe ton apprentissage du français ?
J’ai commencé à prendre des leçons. C’est difficile… J’ai besoin d’encore un peu de temps ! Je progresse, mais c’est une langue compliquée.

(Crédits : J.Azouze/PSG)