Un maillot avec surnoms

Vincent Gérard : « LVII (en chiffres romains), c’est une référence à mon département d’origine, la Moselle, dont je suis très fier depuis que je suis enfant. C’était un moyen de faire un maillot collector, avec un numéro collector. »
 
Luka Karabatic : « Le choix s’est fait de lui-même, je n’ai pas eu à réfléchir. On m’appelle comme ça depuis que je suis tout petit. Mes proches et mes amis finissent tous par m’appeler comme ça. Je n’ai jamais eu d’autre surnom, c’était donc naturel de choisir Loulou. »
 
Kim Ekdahl du Rietz : « BH, ce sont les initiales de mon meilleur ami, quand j’étais enfant. C’est pour lui rendre hommage que j’ai fait ce choix. Ça me tenait à cœur et ça me rappelle des souvenirs. »
 
Viran Morros : « DeArgila, c’est le nom de famille de ma mère. Ça me permet de lui faire un clin d’œil sympa. Je pense que ça va lui faire plaisir. »
 
Dylan Nahi : « Mon surnom depuis petit, c’est Dydy. Ça me semblait logique de le choisir pour cette occasion. »
 
Édouard Kempf : « Tout le monde dans l’équipe m’appelle Edu. C’est un surnom que j’aime bien. En dehors du handball, on m’appelle aussi Edes, mais je voulais faire un clin d’œil à mes coéquipiers. »
 
Gudjon Sigurdsson : « Il s’agit de mon surnom islandais mais il a disparu quand je suis allé jouer en Allemagne, parce que mes coéquipiers d’autres nationalités étaient incapables de prononcer Gaui. »
 
Kamil Syprzak : « Sypa, c’est un diminutif tiré de mon nom de famille. Les gens m’appellent comme ça depuis l’enfance. Je me suis dit que ce serait sympa d’avoir un maillot avec ce nom floqué dans le dos. »
 
Nikola Karabatic : « En choisissant Zivic, je voulais rendre hommage à ma mère et à ma famille en Serbie. Je pense que ce sera une belle surprise pour elle. A la naissance, on garde le nom de son père mais on a deux noms finalement, donc c’est aussi un clin d’œil aux femmes en général. »
 
Benoît Kounkoud : « Beni fait partie de mes surnoms. On m’appelle soit Benoît, soit Ben, soit Benito ou encore Benileven, mais Beni est sûrement celui qui revient le plus ».
 
Nedim Remili : « Pourquoi Ned ? Tout simplement parce que je m’appelle Nedim et que c’est mon seul surnom. C’est comme ça que m’appelle les personnes les plus proches de moi : mon père, ma mère, mes amis... J’aime bien quand on m’appelle comme ça. C’est court, simple et efficace. »
 
Henrik Toft Hansen : « J’ai choisi Toffie parce que c’est le nom qu’on me donnait plus jeune quand j’étais à l’école. C’est assez proche de mon nom de famille et ça m’est venu tout de suite à l’esprit quand j’y ai pensé. » 
 
Adama Keita : « A part mes proches, peu de gens le savent, mais Jaya, c’est mon premier prénom. Mes proches m’appellent comme ça, pas Adama. » 
 
Luc Abalo : « Kanny, c’est mon deuxième prénom. C’est mon prénom togolais. Je l’ai choisi, car quand j’étais plus jeune, nous avions un groupe d’artistes, avec des amis et c’était mon surnom. En grandissant, quand j’ai découvert Kanye West, j’ai trouvé ça marrant que nous ayons cette similitude. Mais je pense que pour lui, il s’agit de son nom d’artiste. Moi, c’est marqué sur ma carte d’identité (rires). »
 
Sander Sagosen : « Il n’y a que ma famille et mon meilleur ami en Norvège qui m’appellent Sander. Mais ici, tout le monde utilise le surnom Sagi. »
 
Mikkel Hansen : « Il y a des gens qui ont parfois du mal à prononcer « Mikkel » et disent « Mikael », donc je préfère que l’on m’appelle Mikki, c’est plus simple. »


Rodrigo Corrales : « Cangas City me permet de rendre hommage à ma ville natale de Cangas, en Galice. J’ai ajouté City pour donner l’impression que c’est une grande ville alors que ce n’est pas vraiment le cas (rires). Et c’est aussi mon pseudo à la ligue Fantasy NFL, à laquelle nous jouons entre joueurs de l’équipe. »

Pour suivre le match (coup d’envoi à 20h45)

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