Olivier Echouafni : « Beaucoup d'espoir »

L'entraîneur du Paris Saint-Germain s'est exprimé en conférence de presse ce vendredi 26 mars à la veille de la rencontre entre Montpellier et le club de la capitale, pour le choc de la 17e journée de D1.

LYON

« Il faut digérer ce résultat, même si l'issue de la rencontre aurait pu être tout autre. Mais c'est comme ça, il faut avancer. Mais ce match nous laisse beaucoup d'espoir pour la suite. Les filles savent qu'elles ne sont pas passées loin de réaliser une performance aboutie. Le score aurait pu être en notre faveur, c'est un coup du sort qui a décidé de l'issue du match. C'est comme ça. »

L'ETAT D'ESPRIT

« Ce genre d'épreuve fait partie des aléas du haut niveau. Tout s'est joué sur des détails, qui n'ont pas été en notre faveur. Il nous a manqué ce brin de réussite, mais nous sommes conscients de ce que l'équipe a pu produire avec une petite semaine d'entraînement seulement avant le match. Je souhaite souligner le très bon état d'esprit des filles, et c'est une motivation supplémentaire. Nous avons un match important qui arrive et nous allons pouvoir retrouver du rythme. »

MONTPELLIER

« Le championnat est notre feuilleton du quotidien, le match contre Montpellier sera difficile, surtout après une rencontre comme celle de mercredi. Mais nous avons un groupe qui nous permet d'avoir de la fraîcheur sur le terrain. Le groupe est très soudé, et il faut s'appuyer sur ce facteur. Nous savons aussi qu'il faut faire la part des choses, on se concentre sur le match de demain, c'est toujours difficile contre cette équipe de Montpellier, à nous d'être présentes dès le début du match et se mettre dans le bon sens de la marche. »

LA BLESSURE DE LUANA

« C'est une grosse perte pour l'équipe, mais nous sommes surtout très tristes pour elle. Elle avait montré de belles choses, et s'était bien intégrée, elle avait pris du volume, et beaucoup progressé. Ce genre de blessure vient souvent à cause de la fatigue, ou bien lorsque vous êtes au top, c'est ce qu'il s'est passé pour Luana. Quoi qu'il en soit, c'est toujours difficile à gérer pour un athlète de haut niveau. »