« Quelle folie ! C’est le mot, quelle folie… Je dois dire que je suis très content. Je pense que l’on ne méritait pas la victoire, parce que la différence entre une équipe comme Tottenham qui a eu beaucoup d’entraînements et nous qui n’avons eu que cinq entraînements… C’est tellement différent, je pense que c’est un miracle. Je suis content parce qu’aujourd’hui on a pu voir, comme d’habitude, nos supporters soutenir l’équipe tout au long du match, même quand nous perdions 1-0 puis 2-0.
Et à la fin, même si je pense que ce n’est pas mérité, je dois dire que je suis content pour tous les joueurs et surtout pour les supporters. C’est important de gagner ce trophée, même si nous avions préféré se reposer pour penser à la prochaine saison. C’est difficile de jouer une finale de Supercoupe parce qu’il faut gagner la Champions League ou l’Europa League. Ça a été bizarre d’avoir des vacances aussi courtes, mais encore une fois je dois dire que je suis heureux de mes joueurs. Nous sommes contents, nous sommes champions ! »
« On a plutôt mal commencé avec ces deux buts mais on a su relever la tête, montrer notre caractère en revenant au score et pendant la séance de tirs au but. On ne peut que être content ce soir. Les supporters étaient déjà avec nous, ça fait plaisir. On ne pensait pas qu’ils allaient être autant, mais leur soutien nous fait vraiment plaisir tout au long de la saison et là encore, ça ne peut que nous motiver à gagner des matches. »
Les supporters ont été exceptionnels, du début jusqu’à la fin.
« C’est magnifique. Franchement à 2-0, on s’est dit que ça allait être compliqué, à la 85e minute en plus. Mais voilà on a essayé de rester dans le match, on s’est dit qu’avec un but tout pouvait se passer. Et comme je l’ai dit les entrées de Lee Kang-In, Fabian Ruiz, Ibrahim et de Gonçalo nous ont fait énormément de bien.
Après une semaine d’entraînement comme ça, ça n’a pas été facile mais on est parti chercher cette victoire et on est content. Les supporters ont été exceptionnels, du début jusqu’à la fin. On peut perdre deux ou trois à zéro, ils seront toujours là à nous pousser. Ça fait du bien, comme on dit c’est le douzième homme et il nous pousse tout le temps, c’est énorme. »
