Arrivé cet été au Paris Saint-Germain Handball, Viran Morros se confie. Il revient sur ses premiers matchs et s’exprime sur son adaptation à la vie française.
Psg.fr : Comment se sont passés tes débuts à Coubertin face à Ivry (38-21) ?
Viran Morros : C’était très bien ! L’ambiance a été bonne. Je suis très content, car nous avons remporté cette rencontre et c’est le plus important. Je me suis bien senti. C’était spécial pour moi car je suis nouveau. Mais une fois que le match a commencé, tout s’est très bien déroulé.
Vous n’avez pas encaissé beaucoup de buts, es-tu satisfait de ta prestation défensive ?
Titi (Omeyer) nous a beaucoup aidés ! Je crois que le travail de notre défense a été bon, même si on doit encore l’améliorer, notamment sur nos différents systèmes.
Offensivement, tu t’es aussi déjà illustré à 4 reprises…
C’est spécial pour moi ! C’est presque anormal… Ce n’est pas mon boulot (rires). Je suis là pour défendre et arrêter les actions adverses. Mais quand je marque un but de temps en temps, je suis content.
Que penses-tu du niveau de la Lidl StarLigue ?
Ce championnat est très fort, pour moi, c’est le meilleur du monde. Il y a de bonnes équipes, qui sont physiques. Les joueurs qui y évoluent sont très forts.
Après votre victoire de mercredi face à Zaporozhye (29-35), comment juges-tu votre en groupe en Velux EHF Champions League ?
Même si la poule peut paraître moins compliquée que la A, elle reste très difficile. On va avoir d’autres déplacement difficiles, à Szeged, Zagreb, Celje, Skjern… Ce ne sera pas des matchs évidents. Il n’y en a d’ailleurs pas en Ligue des Champions ! Le plus important est de terminer en tête du groupe. Ça nous ferait sauter les huitièmes de finale.
Comment se passent tes premiers mois en France ?
Le club a fait le maximum pour que je m’intègre le plus rapidement possible. Paris est une ville fantastique. Je n’ai pas encore eu le temps de tout y découvrir, mais je suis très content d’être là. J’avais déjà joué avec plusieurs joueurs de l’équipe (Nikola Karabatic, Luc Abalo, Rodrigo Corrales). C’est plus facile que d’arriver dans une équipe où on ne connaît personne…
Tu connaissais aussi Raul Gonzalez…
Ça fait longtemps que nous nous connaissons… Je connais sa méthode de travail. C’est facile d’être entraîné par lui. Il nous fait beaucoup travailler et c’est une très bonne chose.
On te sent très expressif sur le terrain. C’est quelque chose qui t’aide ?
Je suis comme ça… J’aime donner de l’énergie à l’équipe. Je crie beaucoup, mais c’est positif. C’est très important pour rester concentré dans le match.
(Crédits : TeamPics/PSG)