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Thilo Kehrer : «Je retrouve le rythme»

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Le défenseur du Paris Saint-Germain s’est présenté en conférence de presse à la veille du match en retard de la 15e journée de Ligue 1 face à Monaco, ce mercredi 15 janvier à 21h au Stade Louis II. Extraits.

BLESSURE

« Je me sens bien, je retrouve le rythme, le jeu, tous les détails, les automatismes. Je me sens mieux. Ce n’était pas une fracture, c’était un peu plus compliqué. L’aponévrose plantaire et un ligament en-dessous du pied, où le sang ne circule peu. La cicatrisation et la guérison ont donc pris du temps. C’était une période difficile pour moi car je ne savais pas combien de temps cela allait prendre. Je suis désormais à 100%, je n’ai plus mal, et je me sens bien physiquement et mentalement. Je ne pense plus à cette blessure, c’est du passé. Je suis prêt à jouer. »

MONACO

« Dimanche, ce n’était pas un match facile. C’était un bon match pour apprendre, pour progresser, faire des rectifications de notre activité avec et sans ballon. On savait que Monaco était dangereux offensivement. Il y a eu des occasions des deux côtés. On a marqué trois buts, ce qui est positif. On doit se concentrer sur nous, notre jeu, notre état d’esprit et sur comment contrôler le match comme on le veut, offensivement comme défensivement. Nous avons analysé le match, et nous savons ce que l’on devra améliorer mercredi. Il faudra être prêt à toutes les éventualités. »

POLYVALENCE

« Le discours du coach reste le même que celui qu’il avait quand je suis arrivé à Paris. Je dois être prêt à jouer, peu importe le poste. Mon ambition est de jouer le plus de matches possibles, à droite ou dans l’axe. Je veux être prêt. J’ai l’habitude de jouer à différents postes. Cela m’aide en tant que joueur, me fait progresser et grandir. Je dois saisir les occasions que l’on m’offre, m’améliorer à chaque entraînement, à chaque match. Je dois progresser sur certains points, retrouver confiance en moi et en mon jeu. »

SYSTÈME

« Le plus important est l’état d’esprit, le collectif, le fait de courir les uns pour les autres. On doit s’aider sur le terrain. On se concentre sur les bases du jeu, c’est ce qui compte. On a des joueurs de qualité à tous les postes. Le plus important pour nous n’est pas le système, mais comment l’animer, en 4-4-2 ou en 4-3-3. »