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Stanley N'Soki : «Une saveur particulière»

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Couronné champion de France pour la deuxième fois de sa jeune carrière, le Titi parisien nous confie son bonheur d'avoir évolué plus longuement en pro cette saison, et évoque les titres gagnés par le Paris Saint-Germain.

Stanley, tu es champion de France pour la deuxième année consécutive. Mais cette saison, tu as beaucoup plus joué...
«C'est toujours un plaisir de soulever des trophées. La saison dernière, je n'avais pas beaucoup joué, quelque chose comme 20 minutes. J'avais beaucoup appris déjà, mais cette saison, c'est une saveur particulière. J'ai partagé les vestiaires des pros toute la saison, je me suis entraîné quotidiennement avec eux. J'ai vécu les bons comme les mauvais moments d'une saison au plus haut niveau. J'en retire une très grande satisfaction.»

Comment se sont passés les premiers moments avec le coach en Asie notamment ?
«Quand il est arrivé, il était très souriant, il a mis tout le monde à l'aise. Il avait beaucoup d'enthousiasme, mais il savait, comme nous tous ici, ce que représente de jouer pour le Paris Saint-Germain, la pression des résultats, et le niveau d'exigence... La préparation en Asie s'est très bien passée, il a fallu appeler beaucoup de jeunes parce que beaucoup de joueurs avaient participé à la Coupe du Monde. Il y avait moins d'expérience mais beaucoup de qualité. On termine la pré-saison avec le Trophée des Champions, que l'on remporte. Je suis titulaire, un peu surpris d'abord, mais je savais ce que le coach attendait de moi. J'ai essayé de répondre aux attente du mieux possible, et nous remportons le premier titre de la saison. Je n'en retiens que du positif.»

Tu délivres deux passes décisives ce jour-là...
«C'est le jeu, c'est le terrain, il y avait de l'euphorie de notre côté, peut-être un peu moins du côté de Monaco. Mais nous étions prêts, rodés, eux un peu moins sans doute. On a pris ce qu'il y avait à prendre. Pour moi, jouer aux côté de Verratti ou Thiago Silva, ça aide forcément. Et c'est un plaisir de jouer avec Christopher Nkunku ou Colin Dagba, qui sont issus du Centre de Formation comme moi, c'est assez spécial pour nous.»